Vos impressions

Bonjour à tous,

merci de me donner vos impressions sur ce morceau :


Je m'explique, j'ai besoin de vos impressions pour savoir comment peut être perçu cette musique. J'ai besoins d'impressions non réflechies, ce que ça vous évoque, quels sentiments, quelles situations, quels décors/univers etc... com diraient les jeunes "lâchez vos coms' lol"... pfff

début un peu poussif,musique très répétitive...
m'évoque une musique de fond pour film...
quelques mots: vitesse, stress, limite "angoisse" par moments: style course poursuite...

Cette musique, ça m’évoque ma Carmélide natale, le vent dans les saules, nos jeux dans la neige au pied du mur d’Hadrien…

hy-per... ça m'aide...

Ihihi

C'est répétitif, ça c'est sûr. Les 20 première secondes ça pète, puis on se lasse. On sent tout de même un certain exotisme dans la musique et les instruments, ça donne envi de voyager. Voilà.

Je t'ai déjà dit, je l'écris : est-ce le nom de l'artiste, choisi en partie pour la référence aux clubs de jazz de St Germain des Prés (et en partie parce que le musicien en question, Ludovic Navarre, est originaire de St Germain en Laye), est-ce la pochette ? Toujours est-il que j'associe ce morceau à Paris, et plus précisément aux quais de Seine, au niveau du Quartier Latin et de St Germain, justement, à savoir les alentours de l'Ile de la Cité, le Louvre, l'Institut, le Pont des Arts, l'horizon étant marqué à l'Est par Notre-Dame, à l'Ouest par la silhouette distante de la Tour Eiffel.... Balades, flâneries dans ce secteur, où je reviens toujours quand je suis à Paris, et qui est classé à juste titre au Patrimoine mondial de l'Humanité, par l'UNESCO. Nous y avons bcp de souvenirs communs, même avec les Trous, qui passent par la rue de la Huchette, ses restos grecs, le square St Julien le Pauvre et ses falafels, par les Tuileries et le Louvre, bien sûr, parcourus par l'ombre de Sophie Neveu, de Robert Langdon, de Belphegor, celle d'Alain Souchon aussi (Rive Gauche et son beau clip ), de Juliette Gréco, actrice dans le Belphegor de ma jeunesse et évoquée par Souchon, comme Jane et Serge, qui habitaient tout près, rue de Verneuil, en plein St Germain. Sans compter qu'en remontant la Seine, on se retrouverait vite quai de la Tournelle, où fut tournée la plus belle séquence de l'histoire du cinéma

Bref, Paris, la plus belle ville du monde, et les lieux où, pour moi, bat son coeur.